Louange à Allah.
Nous avons soumis la question à son éminence Cheikh Abd Allah ibn Djabrine (Puisse Allah le préserver). Voici sa réponse :
« Cela relève de la médisance. En outre, il est inutile de se plaindre auprès d’autres femmes. Car on doit l’éduquer et lui apprendre.
Si celle qui se plaint entend consulter des femmes jouissant de connaissances et d’une expérience confirmée dans le domaine du traitement, de la correction et de l’éducation pouvant servir dans le cas particulier de sa bonne, il n’y a aucun inconvénient à expliquer le défaut de la bonne compte tenu de la nécessité. Allah le sait mieux.