Louange à Allah.
Qui est Ibn Arabi ?
C’est le soufi invétéré, mieux un des extrémistes soufis. C’est Muhammad ibn Ali at-Taï al-Andalousi.
Les ulémas nous l’ont fait découvrir à la suite d’une question qui leur avait été posée en ces termes : « Que disent les maîtres, dirigeants de la religion et guide des musulmans à propos d’un livre qui a été présenté aux gens et dans lequel l’auteur prétend l’avoir établi avec l’autorisation du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) donnée au cours d’un rêve dans lequel il l’aurait vu. Pourtant la majeure partie du contenu de son livre est contraire à ce qu’Allah a révélé dans Ses livres et opposé aux propos de Ses Prophètes ?
Il dit dans son livre : Adam a été appelé insaan (homme) parce qu’il était par rapport au Vrai comme la prunelle pour l’œil qu’il permet de voir.
Ailleurs, il dit : le Vrai qui transcende la ressemblance est la créature qui assimile (le Créateur aux créatures) .
Il dit à propos du peuple de Noé : S’ils avaient abandonné l’adoration de Wudd, de Souwa, de Yaghouth et de Yaouq, ils auraient fait preuve d’une plus grande ignorance à l’égard du Vrai qu’avant leur abandon (du culte incriminé) .
Et puis il dit : Le Vrai revêt l’aspect de tout objet de culte ; celui qui en est conscient l’est, et celui qui ne le sait pas l’ignore. Le savant connaisseur connaît celui qu’il adorem quel que soit l’aspect sous lequel il se manifeste au moment où il l’adore ; la diversité et la multiplicité sont comparables à l’état des organes dans les images perceptibles.
Et puis il dit : le peuple de Houd s’était installé au centre (œil) de la proximité (divine), ce qui exclut l’éloignement et annihile la chaleur de l’enfer pour eux et leur permit d’accéder aux délices de la proximité par mérite. Par conséquent, il ne leur avait pas gratifié de cette dégustation délicieuse, mais l’état réel de leurs œuvres leur en avait donné droit, puisqu’ils avaient emprunté un chemin droit.
Et puis il nie le jugement qui accompagne la menace proférée à l’endroit de ceux parmi les fidèles serviteurs d’Allah qui méritent le verdict portant sur le châtiment ».
Est-ce que celui qui adhère à ces paroles ou les accepte devient mécréant ? L’individu majeur et raisonnable qui écoute ces paroles et ne les conteste pas et ne les désapprouve pas commet-il un péché ? Dites-nous clairement et explicitement ce qu’il en est conformément à l’engagement qu’Allah a pris sur les ulémas dans ce sens. L’indifférence a porté préjudice aux ignorants. » Voir Aquidatou Ibn Arabi wa hayatouh par Taquiddine al-Fassi, p. 15 et 16).
Nous reproduisons les réponses des ulémas à ces questions :
Al-Quadi Badre ad-dine ibn Djamaa’ a dit : « Les extraits susmentionnés et d’autres abondant dans le même sens constituent une innovation aberrante et (traduisent) une (attitude) contestable (parce que) fondée sur l’ignorance ; un homme de religion n’y prête pas attention et ne s’en occupe pas.
Et puis il dit : Combien le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) transcende l’attitude qui consiste à autoriser dans un rêve ce qui s’avère diamétralement opposé à l’Islam. Ce sont plutôt des intrigues sataniques ; une tentation de Satan et sa manipulation de l’esprit (de cet homme) pour l’éprouver .
Ses propos selon lesquels : Adam est l’homme de l’œil (la prunelle) reviennent à assimiler Allah le Très Haut à Sa créature. Il en est de même de ses propos : le Vrai qui transcende la ressemblance est la créature qui assimile (le Créateur aux créatures ... S’il entend par là le Vrai, le Maître des univers, il a commis une vraie assimilation (de l’homme à Allah) et a exagéré en cela.
Quant à sa négation des menaces proférées dans le livre et la Sunna, elle le rend mécréant selon les ulémas adeptes de la foi pure en l’unicité divine. Il en est de même de ses propos concernant les peuples de Noé et de Houd, car ils ne sont que des balivernes inacceptables. L’élimination de cela et des propos semblables des exemplaires du Livre revient à suivre la voie droite et claire. En effet, il ne s’agit que de termes bien embellis et des expressions qui traduisent des sens non vérifiés. C’est une manière d’introduire dans la religion ce qui lui est étranger. Ce qui est à rejeter et ne pas être considéré. Voir la source susmentionnée, p. 29-30.
L’orateur de la citadelle, Cheikh Chamsddine Muhammad ibn Youssouf al-Djazri ach-Chafi » dit : « Louange à Allah : les propos selon lesquels Adam a été appelé insaan (homme )... sont une assimilation, un mensonge... Le fait pour lui de juger le culte idolâtre du peuple de Noé exact relève de la mécréance. Ses propos selon lesquels le peuple de Houd s’était installé dans la vraie proximité sont une invention contre Allah et une réfutation de Sa déclaration les concernant. Ses propos selon lesquels l’éloignement fut exclu et l’enfer devint délice sont un mensonge et un démenti des lois. Bien au contraire, la vérité réside dans l’information fournie par Allah selon laquelle ils subiront un châtiment perpétuel.
Quant à celui qui adhère aux propos d’Ibn Arabi en connaissance de cause, il subit le même jugement que lui, jugement qui varie entre l’égarement et la mécréance, s’il est un connaisseur. En revanche, s’il répète ces propos par ignorance, on lui fait connaître la vérité, l’instruit et le dissuade dans la mesure du possible.
Sa contestation des menaces proférées à l’endroit des fidèles serviteurs en général est un mensonge et une opposition au consensus des musulmans et à la réalisation par Allah le Puissant et Majestueux du châtiment. La loi musulmane a indiqué de la façon la plus claire que des groupes de désobéissants parmi les croyants subiront inévitablement le châtiment (d’Allah). Celui qui nie cela tombe dans la mécréance. Puisse Allah nous préserver de l’adoption d’un mauvais credo et de la négation de la Résurrection ». Voir la source susmentionnée, p. 31-32.
Ibn Taymiyya dit : « Les chrétiens, les Juifs et les Musulmans connaissent nécessairement que dans la religion des Musulmans, quand quelqu’un dit d’un être humain qu’il est une partie d’Allah, il devient mécréant, selon toutes les religions (révélées). Même les chrétiens ne l’ont pas dit, malgré l’énormité de leur mécréance. Personne n’a dit que les créatures font essentiellement partie du Créateur, ni que le Créateur est aussi le créé ni que le Vrai qui transcende l’assimilation est en même temps la créature qui assimile (Allah aux créatures).
Il en est de même de ses propos selon lesquels si les polythéistes cessaient de pratiquer le culte des idoles, ils feraient preuve d’une ignorance due ) à leur abandon de ce culte. Ceci renferme une mécréance que toutes les religions (révélées) reconnaissent, dans la mesure où elles sont toutes d’accord que tous les messagers ont interdit la pratique du culte des idoles et jugé mécréant celui qui s’y livre et enseigné que l’on n’est réellement croyant qu’au prix d’une rupture totale avec le culte des idoles et celui de tout autre objet d’adoration en dehors d’Allah. A ce propos, le Très Haut dit : Certes, vous avez eu un bel exemple (à suivre) en Abraham et en ceux qui étaient avec lui, quand ils dirent à leur peuple: "Nous vous désavouons, vous et ce que vous adorez en dehors d' Allah. Nous vous renions. Entre vous et nous, l' inimitié et la haine sont à jamais déclarées jusqu'à ce que vous croyiez en Allah, seul". Exception faite de la parole d' Abraham (adressée) à son père: "J' implorerai certes, le pardon (d' Allah) en ta faveur bien que je ne puisse rien pour toi auprès d' Allah". "Seigneur, c' est en Toi que nous mettons notre confiance et à Toi nous revenons (repentants). Et vers Toi est le Devenir. (Coran, 60 : 4). Il (Ibn Taymiyya) a également tiré des arguments d’autres versets avant de poursuivre : « Celui qui affirme que si les polythéistes cessaient de pratiquer le culte des idoles, ils feraient preuve d’une ignorance à la mesure de la gravité de leur abandon de ce culte , celui-là est plus mécréant que les Juifs et les Chrétiens. Car Juifs et Chrétiens jugent les polythéistes infidèles. Que dire alors de celui qui fait de l’abandon du culte des idoles un indice de l’étendue de l’ignorance de son auteur ?! Celui qui dit en plus que le connaisseur connaît l’Adoré, quelle que soit la forme sous laquelle Il se manifeste au moment de l’adoration, puisque la diversité et la multiplicité sont comparable à l’état des organes (constitutifs d’un corps) dans les images perceptibles ; elles sont aussi comparables à la force morale dans la représentation spirituelle. Par conséquent, rien n’est adoré dans l’objet du culte qu’Allah lui-même .? Celui-là est plus mécréant que les polythéistes dans la mesure où ceux-ci utilisaient leurs idoles à titre d’intermédiaires (auprès d’Allah) comme ils disaient : Nous ne les adorons qu’afin qu’ils nous rapprochent davantage d’Allah (Coran, 39 : 4). A ce propos le Très Haut dit : Ont- ils adopté, en dehors d' Allah, des intercesseurs? Dis: "Quoi! Même s' ils ne détiennent rien et sont dépourvus de raison? (Coran, 39 : 43). Mais ils reconnaissaient qu’Allah était le créateur des cieux, de la terre et des idoles comme le confirment les propos du Très Haut: Si tu leur demandais: "Qui a créé les cieux et la terre?", Ils diraient assurément: "Allah". Dis: "Voyez- vous ceux que vous invoquez en dehors d' Allah; si Allah me voulait du mal, est- ce que (ces divinités) pourraient dissiper Son mal? Ou s' Il me voulait une miséricorde, pourraient- elles retenir Sa miséricorde?" - Dis: "Allah me suffit: c' est en Lui que placent leur confiance ceux qui cherchent un appui". (Coran, 39 : 38). La source susmentionnée, p. 21-23.
Cheikh al-islam dit encore : « le jurisconsulte Abou Muhammad Ibn Abd as-Salam a dit après son arrivée au Caire et quand il a été interrogé au sujet d’ibn Arabi : C’est un mauvais maître puisqu’il soutient l’éternité du monde et n’interdit aucun sexe.
L’éternité du monde est l’une de ses idées qui impliquent une mécréance bien connue. C’est pourquoi Abou Muhammad l’a jugé mécréant. A l’époque, Ibn Arabi n’avait pas encore professé que le monde était Allah et qu’il en reflétait l’image et l’identité. Ce qui est plus grave que la mécréance de ceux qui se contentent de soutenir l’éternité du monde et affirment l’existence d’un Etre nécessaire à son existence (celle du monde) et disent que c’est de cet Etre qu’émane l’existence possible.
Les maîtres contemporains qui l’ont vu ont dit qu’il (Ibn Arabi) était un grand menteur. Ses livres tels al-Foutouhat al-makiyya et d’autres ouvrages semblables renferment des mensonges qui n’échappent pas au lecteur intelligent.
Plus loin, il (Ibn Taymiyya) dit : « Je n’ai même pas cité le dixième de leurs propos qui impliquent la mécréance... Mais leur (Ibn Arabi et ses partisans) état était resté ambigue pour ceux qui ne les connaissaient pas vraiment.
La même ambiguïté avait entouré les Karmates puisqu’ils s’étaient présentés comme des Fatimides et avaient prétendu être des chiites. Ce qui avait poussé les chiites à se pencher vers eux parce qu’ils ne savaient pas que les Karmates étaient réellement mécréants.
Ceux qui nourrissaient de la sympathie à leur égard étaient soit des renégats hypocrites, soit des ignorants égarés. Les deux groupes formaient les partisans de l’ittihad (union). Leurs chefs étaient des dirigeants de la mécréance. Il faut les tuer. Celui d’entre eux qui tombe en captivité avant de se repentir ne bénéficiera pas du pardon. Ces gens-là font partie des plus grands renégats ; ils affichent l’appartenance à l’Islam tout en dissimulant leur mécréance, et emploient un langage ambigue pour masquer leur opposition à l’Islam.
Il faut châtier toute personne qui se réclame d’eux ou les défend ou leur rend hommage ou magnifie leurs écrits ou les assiste notoirement ou désapprouve qu’on parle d’eux ou leur cherche des excuses en disant : Ces paroles sont inconnaissables et « qui dit que c’est lui (Ibn Arabi) qui a écrit ce livre ?! entre autres manières de leur chercher une excuse que seul un ignorant ou un hypocrite emploie. Il faut bien châtier toute personne que l’on réussit à identifier comme étant un partisan de ces idées, même si elle ne contribue pas à leur diffusion.
Combattre ces gens-là fait partie des plus grandes obligations parce qu’ils ont corrompu les esprits et les religions au sein d’un grand nombre de maîtres, d’ulémas, de rois et de princes ; ils répandent la corruption sur terre et détournent (les gens) du chemin d’Allah. Les préjudices qu’ils portent à la religion est plus important que celui occasionné par ceux qui attaquent les musulmans dans ce qui relève de leur vie séculaire et épargnent leur religion à l’instar des brigands et des tartares qui s’emparent des biens mais laissent la religion intacte. Celui qui ne connaît pas ces gens-là (les malfaiteurs) n’est pas tenté de minimiser leur danger. L’égarement des premiers et leur capacité d’égarer sont plus grands et ils dépassent toute description ».
Plus loin, il dit : Celui qui préfère avoir une bonne opinion d’eux et prétend qu’il ne connaît pas leur véritable état, doit-être bien informé. S’il ne se sépare pas d’eux et ne les désavoue pas clairement on le leur assimile et le traite comme tel.
« Quant à celui qui dit que leur langage (celui des partisans d’Ibn Arabi) peut être interprété de façon conforme à la Charia , il fait partie de leurs chefs et de leurs dirigeants. S’il est intelligent, il connaît un de leurs livres allant dans le sens de ses propos. S’il parle par conviction intime, il est plus mécréant que les Chrétiens ». Fin d’une citation résumée. Voir la source susmentionnée, p. 25-28.
Ibn Hadjar dit qu’il a évoqué une partie des propos ambiguës d’Ibn Arabi devant notre maître cheikh al-Islam al-Balquini et l’a interrogé au sujet d’Ibn Arabi et que notre Cheikh al-Balquini lui a dit : Il est mécréant . La source susmentionnée, p. 39.
Ibn Khaldoum a dit : Parmi les soufis figurent Ibn Arabi, Ibn Sabiine, Ibn Barradjan et leurs adeptes acquis à leurs thèses. Ils sont auteurs de nombreux écrits qui circulent entre eux. Ces écrits sont bourrés d’une mécréance évidente, d’écœurantes innovations et d’une interprétation des sens apparents très mauvaises et peu vraisemblables. Ce qui conduit celui qui les regarde à trouver étrange qu’on les attribue à la religion et les considère comme une partie de la Charia . La source susmentionnée, p. 41.
As-Soubki dit : Les soufis des époques récentes tels Ibn Arabi et ses partisans sont des égarés ignorants, écartés de la voie de l’Islam et exclus du groupe des ulémas. La source susmentionnée, p. 55.
Abou Zour’a fils d’Al-Hafiz al-Iraqui a dit : Le célèbre al-Foussous contient sans aucun doute une mécréance indiscutable parce que claire, et il en est de même de ses Foutoulat al-makiyya. Si leur attribution à l’auteur est authentique et qu’il ait adhéré à ses idées jusqu’à sa mort, il est un mécréant qui sera éternellement maintenu en enfer sans aucun doute. La source susmentionnée, p. 60.
Cela étant, peut un homme raisonnable prétendre que tous ces éminents ulémas n’ont pas compris Ibn Arabi ? S’ils ne l’ont pas compris, qui l’a compris ?
Voici un incident qui invite à réfléchir. Al-Fassi a dit : « J’ai entendu notre compagnon, le maître confirmé, al-Quadi Shihab ad-Din, Ahmad ibn Ali ibn Hadjar ash-Shafii dire : « Une longue dispute m’a opposé à un des amis d’Ibn Arabi au sujet de celui-ci après que je l’ai attaqué à cause de ses mauvaises idées. C’est alors que mon antagoniste a menacé de porter plainte contre moi auprès du Sultan d’Egypte pour une affaire différente de l’objet de notre dispute, dans le but de me donner des soucis. Je lui ai dit : le Sultan n’a rien à voir dans cette affaire ! Viens plutôt que nous prions pour que la malédiction frappe celui d’entre nous deux qui est le menteur.
En effet, il est rare, qu’à l’issue de cette procédure, le menteur ne soit pas atteint... Il dit « Il me dit : bismi Allah = (allons-y) - Il dit : je lui ai demandé alors de dire : Mon Seigneur ! Si Ibn Arabi est égaré, fais de moi l’objet de Ta damnation . Et il dit cela. Et puis j’ai dit moi-même : Mon Seigneur : Si Ibn Arabi est bien guidé, fais de moi l’objet de ta damnation .
Ensuite, nous nous sommes séparés. Par la suite, nous nous sommes rencontrés dans un des lieux de promenade de l’Egypte au cours d’une nuit de pleine lune et il nous a dit : quelque chose de doux est passé près de mon pied, regardez ce que c’est. Nous avons regardé et lui avons dit que nous n’avions rien vu. » Il (le rapporteur) dit : « l’intéressé s’est rendu compte alors qu’il venait de perdre la vue ; il ne voyait plus rien (Allah l’avait rendu aveugle).
Voilà la substance de ce qu’al-Hafiz Shihab ad-Din ibn Hadjar al-Asqualani m’a raconté. » la source susmentionnée p. 75-76).
Voilà un aspect des manifestations vaines et absurdes des aberrations de l’homme (à méditer) par celui qui cherche la vérité et veut s’engager dans la voie droite. C’est un dévoyé athée qui n’a dépassé son temps que dans l’égarement et la mécréance ; il ne possédait ni lumière ni sagesse, mais il était plutôt plongé dans l’obscurité. Nous vous avons cités les propos d’ulémas autres qu’Ibn Taymiyya, qui indiquent la mécréance d’Ibn Arabi, afin que vous ne croyiez pas qu’Ibn Taymiyya fut le seul à l’avoir jugé mécréant.
Quant à votre impolitesse à l’égard d’Ibn Taymiyya et votre prétention qu’il vint au monde des années après Ibn Arabi, nous en disons ceci : vous aussi le temps qui vous sépare d’Ibn Taymiyya est plusieurs fois plus important que celui qui s’était écoulé entre (la mort d’)Ibn Arabi et (la naissance d’) Ibn Taymiyya. Par conséquent, c’est vous qui devriez vous taire.
Il n’est pas permis de faire preuve d’impolitesse à l’égard d’un maître comme Ibn Taymiyya dont le savoir a rempli le monde.. Comment un homme comme vous ose le qualifier de fourmi ? Qui êtes-vous qui qualifiez le maître des maîtres, le maître de l’Islam de fourmi ? Ne redoutez-vous pas votre position devant Allah quand Il vous interrogera sur votre impolitesse à l’égard des ulémas ?
Nous vous demandons au nom d’Allah en dehors de qui il n’y a aucune autre divinité : est-ce que celui qui professe que la créature est une partie du Créateur est un musulman ?
Sur la base de la réponse que vous donnerez à cette question, vous vous rendrez compte de la réalité de votre adhésion à l’Islam. C’est Allah qui guide vers le droit chemin.